Biographie du Rav Chouchena
Né à Constantine en 1928, il nous a quittés le 24 juillet 2008 (21 Tammouz 5768) à Jérusalem.
Fils du grand-rabbin Yaakov Chouchena et de Nouna Guedj, il a grandi à Bône. A la mort prématurée de son père, le grand-rabbin Rahamin Naouri devint son maître et tuteur.
Il quitte l'Algérie pour poursuivre ses études religieuses à Aix-les-Bains, avec Shaül Naouri et René Sirat Shlita, qui, comme lui, deviendront des grandes figures du judaïsme français.
Il intègre ensuite le Séminaire israélite de France, dirigé par le grand-rabbin Liber et suit les cours de Talmud du grand-rabbin Ernest Gugenheim avec qui il se lit d'une amitié que seul le décès de ce dernier interrompra.
Il occupe son premier poste de rabbin à Lille, qu'il quitte pour retourner en Algérie, appelé par son beau-père le grand-rabbin Rahamim Naouri.
En 1962, il poursuit sa carrière rabbinique, puis dirige le Séminaire israélite de France, à la mort du grand-rabbin Gugenheim.
Il est également l'un des quatre dayanim du Beth-Din de Paris, œuvrant sans compter pour créer et structurer la cacherout de Paris et de toute la France. A l’image de tous les rabbins du constantinois, il est Maître en Talmud, Halacha et Midrach, expert en Ch'ita, Mohel et Sofer.
Durant de nombreuses années, il sillonne la France pour délivrer d'innombrables conférences et régler les aspects techniques de la construction de Mikvaot. Pionnier de l'activité rabbinique auprès des jeunes, le mouvement de jeunesse Tikvatenou, qui connut sous son égide un formidable essor spirituel.
Né à Constantine en 1928, il nous a quittés le 24 juillet 2008 (21 Tammouz 5768) à Jérusalem.
Fils du grand-rabbin Yaakov Chouchena et de Nouna Guedj, il a grandi à Bône. A la mort prématurée de son père, le grand-rabbin Rahamin Naouri devint son maître et tuteur.
Il quitte l'Algérie pour poursuivre ses études religieuses à Aix-les-Bains, avec Shaül Naouri et René Sirat Shlita, qui, comme lui, deviendront des grandes figures du judaïsme français.
Il intègre ensuite le Séminaire israélite de France, dirigé par le grand-rabbin Liber et suit les cours de Talmud du grand-rabbin Ernest Gugenheim avec qui il se lit d'une amitié que seul le décès de ce dernier interrompra.
Il occupe son premier poste de rabbin à Lille, qu'il quitte pour retourner en Algérie, appelé par son beau-père le grand-rabbin Rahamim Naouri.
En 1962, il poursuit sa carrière rabbinique, puis dirige le Séminaire israélite de France, à la mort du grand-rabbin Gugenheim.
Il est également l'un des quatre dayanim du Beth-Din de Paris, œuvrant sans compter pour créer et structurer la cacherout de Paris et de toute la France. A l’image de tous les rabbins du constantinois, il est Maître en Talmud, Halacha et Midrach, expert en Ch'ita, Mohel et Sofer.
Durant de nombreuses années, il sillonne la France pour délivrer d'innombrables conférences et régler les aspects techniques de la construction de Mikvaot. Pionnier de l'activité rabbinique auprès des jeunes, le mouvement de jeunesse Tikvatenou, qui connut sous son égide un formidable essor spirituel.